Le blog de Boris
Un film de Burd Tranbaree réalisé en 1978. Il ne s'est pas trop foulé pour trouver un titre pour ce film qui porte parfois le nom de "Je crie…
je jouis " (ça ne s'invente pas !) ou "Voluptés secrètes" (beaucoup plus glamour, même si ça ne veut pas dire grand-chose).
Le scénario est tout simple : Au départ deux colocataires obsédés sexuels (normal pour un porno), l'une est bougon (Lucien joué par l'inévitable et sympathique Richard Allan), l'autre aimable
(Jean-Philippe interprété par Guy Royer). Quand Catherine (Lucie Doll) frappe chez eux, Lucien l'envoie promener, mais la "récupère" (normal elle est tellement belle !).
Le pli est pris et défilerony ensuite une factrice (Karine Gambier, whaou !), une démonstratrice en tissu d'intérieur (Erika Cool) et un duo de masseuses (Liliane Lemieuvre et une jolie blackette
inconnue au bataillon).
Le final est grandiose et impliquera nos deux bonhommes, les cinq femmes citées ci-dessus auxquelles se joindront la très belle et très coquine Marianne Fournier ainsi que Céline Galone dans une
partouze géante d'environ une demi-heure.
Burd Tranbaree est un cinéaste inégal mais quand il a sa disposition un casting qui l'intéresse, il s'efforce de mettre en vedette tout son petit monde et le fait très bien. On a donc de belles
images quant aux actrices le moins que l'on puisse dire c'est qu'elles assurent complètement. Que demande le peuple ?
Note : le générique fait apparaître le nom d'Elizabeth Buré qui n'apparaît pas dans le film. Mystère et boule de gomme.
Lucie Doll
Lucie Doll
Lucie Doll
Lucie Doll
Lucie Doll entre Guy Royer et Richard Allan
Lucie Doll entre Guy Royer et Richard Allan
Karine Gambier
Karine Gambier
Karine Gambier
Karine Gambier
Erika Cool
Liliane Lemieuvre à droite (l'actrice noire n'a pas été identifiée)
Liliane Lemeuvre et Karine Gambier
Marianne Fournier et Guy Royer
Marianne Fournier, Guy Royer, Céline Galone
Partouze finale : Lucie Doll de dos à gauche
Partouze finale : Erika Cool, Karine Gambier, Liliane Lemieuvre, une fille cachée, Marianne Fournier.
Ah, Karine Gambier, qu'est-ce que j'ai pu me branler en évoquant son image !